Certains témoignages signaleraient la présence de bancs de jeunes femelles, nageant à toute allure dans une même direction, comme si elles s’amusaient à faire la course. En plusieurs occasions, des bandes auraient, en effet, été aperçues, remontant des grandes profondeurs. Il semblerait qu’il s’agisse de groupes d’individus du même âge… Selon ces mêmes témoignages, ces petites femelles ne seraient pas absolument semblables : leurs couleurs seraient différentes, ainsi que la répartition de celles-ci sur leur corps.... En 1965, quelques mues de jeunes femelles, retenues par les rochers du rivage, auraient été aperçues par le gardien du phare de l’Ile du Rouveau. Ce monsieur, seul habitant des lieux, aurait alors, par un appel téléphonique, signalé leur existence au Musée Océanographique de Monaco.
Il aurait été supposé à cette époque par l’interlocuteur du gardien de phare - à qui ce n’était pas la première fois que l’on rapportait ce genre de curiosité - que les différences visibles sur ces reliquats, pourtant tous plus ou moins du même format, marqueraient un genre de bouleversement interne, une sorte de « puberté » des petits êtres.
« Le premier plan de l’image ci-contre est à l’échelle 11 »
Taille moyenne d’une femelle adulte : 34 centimètres
« Mesure hypothétique du corps, debout, talons posés sur le sol et corne comprise »